Profil de membre

George
Fernández Jr.

Maître maçon de sept ans
Saddleback-Laguna n° 672

By Ian A. Stewart

Capture d'écran à 2021 03-18-4.26.21 PM

Franc-maçon de Californie: Je comprends que vous êtes une sorte d'expert en vin. Comment vous êtes-vous lancé dans le conseil en vin ?
George Fernández : J'ai vécu en Italie pendant un an quand j'étais à l'université, et évidemment le vin est une grande partie de la culture là-bas. Je me souviens que je suis allé à une grande dégustation de chianti à Greve et que je me suis éclaté, et après cela, j'ai toujours fait de la recherche et de l'essai du vin une partie de tous mes voyages. C'est là que la flamme s'est allumée. Puis, à la sortie de l'université, j'ai commencé à travailler comme vendeur pour un conglomérat viticole européen qui essayait de développer son marché dans le sud de la Californie en vendant à des collectionneurs privés et en fournissant des boissons pour de grands événements.

CFM: C'est assez grisant pour une vingtaine d'années. Pas exactement Two-Buck Chuck.
GF: Droit. Je ne jouais pas à "claquer le sac" à l'université.

CFM: Qu'est-ce que ça fait de parler de vin avec des gens qui s'y connaissent déjà bien ?
GF: Cela peut être un peu intimidant, mais je me suis toujours reposé sur le fait que même si j'avais affaire à quelqu'un de plus expérimenté que moi, j'avais plus d'histoire avec le cépage particulier que je partageais avec eux. Je me suis toujours instruit sur une bouteille au point que personne dans la pièce n'en savait plus que moi sur ce vin.

CFM: Avez-vous des cépages favoris ou spécialisés que vous avez vendus
GF: Oui, un cépage particulier appelé carmenère, que l'on a longtemps cru éteint. Mais au milieu des années 1990, il a été redécouvert au Chili, où ils avaient pensé qu'il s'agissait d'un cépage merlot car ils se ressemblaient beaucoup. Mais c'était en fait ce raisin perdu depuis longtemps de Bordeaux. Il donne beaucoup de caractère au profil bordelais, cette pointe d'épice et de poivre.

CFM: Maintenant, vous êtes dans les ventes de technologie. Qu'est-ce qui vous a fait changer de vitesse ?
GF: J'avais rompu à mon compte et je faisais du conseil pour des restaurants, et j'y voyais un potentiel, mais c'est une industrie difficile. En fin de compte, même si j'aime le vin, la technologie paie mieux. [Des rires]

CFM: Je suppose que vous êtes toujours le sommelier incontournable de votre lodge.
GF: Oh ouais. J'ai fait beaucoup d'événements avec des frères, comme des grandes ouvertures de restaurants. Et si on sort manger, les gens vont me demander conseil. Je reçois même des appels de nos fidèles comme: "Hé, je me tiens dans l'allée des vins chez Ralphs, que dois-je prendre?" Ce genre de choses m'amuse.

CRÉDIT PHOTOGRAPHIQUE :
Russ Hennings/Moonbeam Studios

En savoir plus sur ce numéro :